-
18 avril - Tazzarine - Camp Serdrar
Il y a de multiples raisons pour apprécier le Camp Serdrar.
D'abord, sa situation : en plein désert, comme nous aimons. On y accède par une piste de 3 km (jusqu'à l'année dernière, il fallait faire 6 km...).
PANORAMIQUE
Des pierres, des acacias, du sable
Un des oueds qui parcourt ce plateau. Nous n'arrivons pas à l'imaginer plein d'eau. Et pourtant....
Le sable s'accumule derrière les murs extérieurs du camp Serdrar
Pour faire provision d'eau, la famille de Brahim a construit son 3ème réservoir d'eau.
Une partie de l'eau de l'oued est ainsi récupérée lors des pluies d'automne et de printemps
L'entrée du Camp Serdrar, fermée la nuit.
Ensuite, le décor :
Quand on rentre, c'est une explosion de verdure. Nous trouvons une ombre protectrice sous ces eucalyptus
Jeunes palmiers, luzerne à différents stades de maturité
Arrosage goutte à goutte. La luzerne sèche avant d'être mise en bottes
Des légumes sont plantés autour des carrés de luzerne
Luzerne en fleurs. Des papillons multicolores s'y pressent
Voilà l'environnement. Quand on vient de traverser des km de désert de pierres, c'est reposant.
Ensuite, les installations, c'est beau, bien fait, efficace, très propre.
Tentes confortables,
Belles chambres confortables, sanitaires irréprochables
Restaurant récent très agréable (cuisine familiale bonne et copieuse)
Poubelles partout dans le camping
Et pour les nomades comme nous :
Un bloc sanitaire dédié avec machines à laver
Une vidange eaux grises opérationnelle.
Bref, un confort optimal.
Mais il faut ajouter, car c'est très important, la qualité de l'accueil, la gentillesse, la discrétion et l'écoute de Brahim (et de toute sa famille).
Cette année, nous n'avions pas de raison particulière de passer au Serdrar. Nous y sommes venus. Nous y reviendrons. Inch Allah !
-
Commentaires
1Claudine44Vendredi 19 Avril 2019 à 18:52Répondre
Ajouter un commentaire